1940 à 1960


AUSTIN HEALEY  3000 – 1959
La 1ère Austin Healey est présentée au salon de Londres en 1952.
C’est un Roadster 4 cylindres conçu surtout pour l’exportation  mais que l’on verra au Mans. Il sera 6 cylindres en 1956 et sera construit jusqu’en 1967.
En 1958, sort un petit cabriolet baptisé « Sprite » mais plus connu sous le Sobriquet de « Frogeye » dû à ses phares proéminents. En 1961, elle adoptera la robe de sa cousine « MG Midget ». La production s’arrêtera en 1971.
BUICK ROADMASTER – 1947
David Buick (1854-1929) débuta dans l’industrie sanitaire ; on lui doit la baignoire en fonte émaillée. Il construisit des moteurs industriels puis, sa première voiture en 1903. Mauvais gestionnaire, ce fut Général Motors qui s’empara de Buick.
CADILLAC COUPÉ – 1955
CADILLAC SEDAN DEVILLE – 1956
Type 62 Berline 4 portes sans montant
CHEVROLET AMBULANCE – 1954
CITROËN TRACTION – 1949La traction a été construite de 1934 à 1957 à 757 981 exemplaires, dont 25 000 avec conduite à droite pour l’exportation.
CITROËN TRACTION BL – 1949
CITROËN TRACTION 15 SIX – 1949
CITROËN TRACTION Type B – 1952
Dès 1952, de nombreuses améliorations apparaisseint notamment la malle arrière extérieure, les flèches de directon sont remplacées par des clignotants.
CITROËN TRACTION Familiale 11B – 1952
CITROËN TRACTION – 1955
Dès 1954, on sent poindre les premices de la DS avec la suspension hydro-pneumatique.
Voiture de gangster ou voiture officielle, elle fut la première à posséder une traction avant qu’une publicité Citroën décrivait comme ceci :
« Remettons les bœufs avant la charrue… »
CITROËN TRACTION 11 B – 1955
CITROËN TRACTION 11 BL – 1955
CITROËN TRACTION 11 B – 1956
CITROËN 2 CV – 1953
CITROËN 2 CV – 1957
CITROËN 2 CV – 1958
CITROËN 2 CV – 1960
Le 28 février 1934, la maison n’arrive plus à faire face à ses créanciers. La marque sera prise en mains en 1935 par la famille Michelin. 
Pierre Jules Boulanger est le vice-président de la firme Citroën . Il ordonne la construction d’un véhicule très populaire le TPV (le tout petit  véhicule) ; c’était son nom de code. Son cahier des charges :
 « transporter quatre paysans en sabots dans une terre labourée avec une douzaine d’œufs dans un panier sans les casser ».
Le défit était lancé ; les essais se font avec la seconde guerre mondiale. Le projet est stoppé ; le prototype démonté et les pièces disseminées pour ne pas que l’ennemi s’empare de l’idée dont il avait eu vent…
Les travaux de recherches reprirent sitôt la guerre terminée et, dès 1950, les premiers modèles furent commercialisés. Le succès ne se démentira pas.
Plus de 5 millions d’exemplaires furent construits jusqu’en 1990.
FORD TAUNUS 17M P2 – 1959
Ford lança en 1957 ce modèle au style américain.
La baguette latérale soulignant la ceinture de caisse, la fait apparaître plus longue, soit 4,38 m.
Elle fut fabriquée en différentes versions ; 2 portes, 4 portes et break. 240 000 unités furent produitent entre 1957 et 1960. Il en resterait, à ce jour, que 5 unités en France.
Le modèle P2 utilise un moteur ATC de 1698 cm³ de cylindrée et d’une puissance 44 kW pour une vitesse maximale annoncée de 128 km/h.
MG TD – 1953
MG TF – 1955
Moteur :

4 cylindres en ligne, alésage 73 mm, course 90 mm, cylindrée 1466 cm3. Carburateurs 2 SU. Compression 8,3 : 1, puissance maxi 63 ch SAE à 5500 t/mn. Commande des soupapes: arbre à cames latéral, soupapes en tête. Installation électrique: 12 V.
Transmission :
manuelle 4 vitesses (3 synchronisées) + marche arrière. Propulsion.
Suspension :
AV indépendante, triangles, ressorts hélicoïdaux, amortisseurs à levier. AR pont rigide, ressorts à lames, amortisseurs à levier.
Direction :
crémaillère.
Pneus :
5.50 x 15″.
Freins :
AV & AR: tambours.
Dimensions principales :
empattement 239 cm,voie AV 120 cm, voie AR 122 cm, longueur 373 cm, largeur 152 cm, hauteur 133 cm, poids à sec: 850 kg.
Performances :
vitesse maxi: 140 km/h, consommation d’essence 8 l/100 km.
En 1953, les MG TD ont pris un petit coup de vieux, en 1954 la compagnie reprend les bonnes vieilles recettes sous un nouveau nom (TF) et une nouvelle « peau » plus basse, plus « dans l’air du temps », mais sans modifier radicalement la ligne, puis-qu’après tout, ces petites sportives se vendent plutôt bien…Et puis, pour bien faire les choses, en améliorant le taux de compression, on fait grimper la puissance à 57.5 chevaux (un gain de 3.1 ch !). A part çà, ce sera à peu près tout… N’exagérons pas !Il faudra attendre 1955 pour que paraisse la TF 1500 et ses 63 chevaux, mais sans autre changement pour la dernière des vraies MG (les traditionalistes sont de toutes les époques !). La TF 1500 qui nous intéresse ici est donc la dernière des « vraies », il est vrai que pare-brise rabattu ou non, le plaisir est intense et que les performances sont d’abord affaire de subjectivité, ce qui après tout est loin d’être un handicap. Quant à la ligne, personne ne peut rester indifférent devant ce charme si « british », et cette façon qu’on les Anglais de vous concocter un habitacle « cosy »… Et cosy ne signifie pas obligatoirement confort !
MG A – 1957
L’intérêt pour les modèles « classiques » des années 30-50 est toujours très fort.
Les MG sont toujours légion sur le marché britannique ; elles ont été énormément modifiées soit en montant des moteurs avec de meilleures performances, soit en remplaçant les discracieux pare-chocs américains par de plus élégants éléments chromés qui vont équipés les nouveaux modèles.
MG 8 MGA – 1957
PEUGEOT 202 BH – 1948 A la fin de la guerre l’ outil de travail des usines Peugeot étant dévastés par les bombardements ,l’activité redémarre avec la 202 comme seul modèle
la 202 B devient 202BH avec  des freins hydrauliques à tambour sur les 4 roues en remplacement des freins à câbles
les indicateurs de direction latéraux sont  par flèches lumineuses oscillantes.
La 202 BH continuera à être produite jusqu ‘a la fin de  1949 et remplacée par  la 203 A présentée au salon de  1948.
PEUGEOT 203 A  – 1950
Née en 1948, la 203 donne naissance à une large gamme.Les versions tourisme de la 203 (berline, berline découvrable, cabriolet et coupé) sont établies sur 2,58 m d’empattement avec une suspension arrière par ressorts hélicoïdaux, d’abord sous l’appellation « 203 » pour sous celle de « 203 C » (septembre 1954, boite de vitesses entièrement synchronisée)
PEUGEOT 203 FAMILIALE  – 1951
PEUGEOT 203 COUPÉ  – 1953  
Un an après l’apparition du cabriolet, soit au salon de 1952, est lancé le coupé, qui achève de compléter la gamme 203 Accueilli fraîchement par la clientèle, il ne répondra pas aux attentes de Peugeot et disparaîtra du catalogue en 1954. C’est la version la moins produite de la gamme 203 avec 953 exemplaires.
PEUGEOT 203 Berline – 1955
PEUGEOT 203 Berline – 1955
PEUGEOT 203 – 1956
PEUGEOT 403  8 CV -1956
La Peugeot 403 est une automobile de la marque Peugeot produite entre 1955 et 1966
La 403 (8 CV) a été présentée pour la première fois le 20 avril 1955 au palais de Chaillot au Trocadero à Paris.
Carrosserie réalisée par Peugeot en collaboration avec Pininfarina, la coque est autoportante monobloc en acier.
Moteur (quatre cylindres en ligne) avec culasse en Alpax (8 CV) d’une cylindrée de 1 468 cm³, développe une puissance de 58 ch DIN à 4 900 tr/min. 
PEUGEOT 203 Berline – 1956
Cylindrée 1290 cm3
Puissance : 7 CV
Boîte : 4 vitesses
Vitesse maxi : 120 km/h
Propriétaire depuis 1956 
PEUGEOT 203 – 1956
PEUGEOT 403 – 1959
PEUGEOT 403 PICK-UP – 1958
PORSCHE 356 A Speedster – 1958
RENAULT 4 CV DÉCOUVRABLE – 1951
La 4CV découvrable fit sa première apparition au Salon de Paris de 1949
Un an plus tard, à partir du modèle R1062 de 747 cm3, la 4CV découvrable reçoit des renforts de carrosserie sous la forme de triangles en tôle placés dans les angles supérieurs de l’ouverture du capot moteur.
Proposée uniquement en finition « Grand Luxe » riche en chromes, elle apparaît comme une version élaborée de la 4CV  .
RENAULT 4 CV – 1954
L’histoire de la 4 CV débute en 1947, elle avait 3 ou 6 moustaches. Il s’agit des baguettes chromées fixées entre les 2 phares. Avant 1954, elles en avaient 6.
Elles furent appelées « les 4 pattes » puis les « Puces de Billancourt ».
Le moteur avait été imaginé à l’arrière car, en cas de choc, il était alors protégé. Il y en a eu 1 131 798 4 CV à voyager sur les routes de France. Sa production s’est arrêtée en 1963.
RENAULT 4 CV – 1955
La 4CV évolue au fil des ans : les changements les plus marquants sont, sur les modèles 1954, l’abandon de la « moustache » à six barrettes sur la face avant, au profit d’une plus simple à trois barrettes
RENAULT 4 CV – 1955
RENAULT 4 CV – 1956
RENAULT 4 CV – 1956
Ses principales caractéristiques techniques sont un « moteur Ventoux » placé en porte-à-faux arrière à trois paliers, de 748 cm3 à partir de 1952, à 4 cylindres, à soupapes en tête et arbre à cames latéral, développant 21 ch ; une boîte de vitesses manuelle à 3 rapports, à 1ère non synchronisée ; des freins hydrauliques à tambours avant et arrière.
RENAULT 4 CV Sport – 1956
RENAULT 4 CV – 1957
RENAULT 4 CV 1062 – 1958
RENAULT DAUPHINE – 1958
La réflexion sur le lancement de ce module chez Renault fut pris en 1944 – son chiffre d’identité fut le 109 et, c’est le 6 mars 1956, à partir de 18 heures, que la Dauphine fit son entrée sous les lumières du Palais de Chaillot.
Elle fut construite jusqu’en 1967.
RENAULT FRÉGATE Transfluide – 1958
Elle était destinée à contrer la Traction Avant de Citroën.
C’est dès la fin de l’année 1952 qu’elle fut lancée sur le marché sous le matricule 110 et il faut faire vite.
Le modèle Amiral ou le coupé séduisent.
En 1956, c’estla catastrophe, la DS 19 va contrarier ses ventes qui tombent à 20 482 unités alors que l’année précédente 50 590 furent produitent.
En 1958, apparition de la berline Transfluide, équipée d’une boîte 3 rapports semi-automatique à convertisseur de couple.
La fabrication s’arrête en 1960.
ROLLS-ROYCE Silver Quid – 1956
SALMSON 2300 Sport – 1955
Salmson 2300 Sport N°85 153 sortie le 18/05/1955
Entièrement restaurée début des années 2000.
La Salmson 2300 S est le dernier modèle produit par la société des moteurs Salmson, ou Salmson, entre 1953 et 1957, conçue par Eugène Martin.
Elle a été produite à 226 exemplaires tous modèles confondus (y compris les carrosseries spéciales).
Une première série de 30 voitures carrossées par Esclassan, puis ensuite par Chapron.
Elle est motorisée par 4 cylindres,
double arbres à cames en tête de 2,3 litres, de 110 CV, tout alu, issu d’une longue lignée de moteur double arbres.
La 2300 S a participé à de nombreux rallyes internationaux, tels que le Liège-Rome-Liège, Lyon-Charbonnières, Coupe des Alpes, Maroc, Monte-Carlo, aux mains de pilotes connus, tels que René Cotton. Deux versions spéciales réalisées par Motto (barquette et coupé) ont participé aux 24 heures du Mans en 1955 et 1956. Six modèles ont été fabriqués en berlines dont une a été la propriété de D Rops (académicien), celle-ci est classée au patrimoine et est en cours de restauration.
Cette voiture fait partie des 121 Sport, avec un moteur série 2 (pompe à eau sur le bloc). Elle développe 110 CV, pour une vitesse de pointe de 185 km/h.
Elle est équipé d’une boîte Cotal.
SIMCA ARONDE Commerciale – 1954
SIMCA ARONDE 90 A 6 CV – 1955
La Simca Aronde est une berline familiale fabriquée de 1951 à 1963 par le constructeur automobile français Simca.
Le nom « Aronde » a été choisi car il signifie « hirondelle » en vieux français qui était le symbole de la marque Simca.
La 9 Aronde est la première Simca à carrosserie monocoque.
En 1956, l’Aronde est la voiture la plus vendue en France.
SIMCA ARONDE 90 F Plein Ciel – 1957
Au Salon de l’Auto 1956, Simca dévoile son nouveau coupé appelé Plein Ciel.
Construites sur la plate-forme de l’Aronde et profitant de plusieurs de ses organes mécaniques, la Plein Ciel est équipée du récent moteur 1300 cm3 Flash Spécial de l’Aronde Montlhéry à la puissance de 57 ch qui revendique 140 km/h en pointe.
Le 9 avril 1957 à Montlhéry, ce moteur battait plusieurs records avec une Aronde qui se lança sur l’anneau et qui ne s’arrêta que le 17 mai, après avoir parcouru 100 000 km. Elle fut sacrée Championne du Monde des 100 000 km et gagna parallèlement 25 records de classe (1 500 cm3) et trois autres de distance.
SIMCA ARONDE P 60 – 1958
SIMCA CHAMBORD PRÉSIDENTIELLE – 1955
SIMCA BEAULIEU – 1958
C’est par leur robe entièrement renouvelée que les Beaulieu se distinguent en s’américanisant.
Ces luxueuses Simca possèdent des optiques surmontés de visières, un pare-brise panoramique.
La calandre s’équipe de larges feux, tandis que les ailerons arrières se terminent par d’extravagants feux orange ou rouge.
Les pare-chocs sont équipés de généreux butoirs garnis de tampons de caoutchouc.
SIMCA CHAMBORD – 1958
Le type « Chambord » imaginée en 1958 entre dans la série de la marque « Simca Vedette ».
Equipée d’un 8 cylindres en V, elle se définit comme une berline cossue aux lignes très marquées à la carrosserie « americanisée », notamment avec un pare-brise panoramique ; les pare-chocs sont équipés de généreux butoirs complétés par un confort bourgeois atteignant la vitesse de 145 km/h pour un poids de 1200 kg.
La construction de ce type n’ira pas au delà de 1961.
SIMCA CHAMBORD V8 Ford 2,2 – 1958
SIMCA CHAMBORD – 1958
SINGER – 1952
Comme beaucoup de constructeurs automobiles, Georges Singer (aucun rapport avec Isaac Merrit Singer fondateur de l’usine de machines à coudre qui devint la Singer Manufacturing Company) commença par fabriquer des bicyclettes à Coventry en 1875.
En 1951 sorti le Roadster 4AD avec le moteur de la SM 1500 Saloon descendu à 1497 cc pour pouvoir courir en catégorie de moins de 1500 cc Il développait 48 cv.
VESPA 400 – 1958
C’est un conducteur de scooter qui fut à l’origine de cette liliputienne pleine de malice.
Nous sommes à la fin des années 50 et la vogue des mini voitures apparaît.
C’est en 1957, au salon de Paris, qu’elle fait son entrée au prix de 345 000 francs.
Équipée d’un moteur 2 cylindres en ligne et d’un carburateur Solex, avec un poids de 370 kg elle attaignait les 90 km/h.
Ce fut une puce encore plus petite que la Fiat 500.